Au feu, les Pompiers!
On se dit toujours que cela n'arrive qu'aux autres et on ne le voit qu'à la télé, films ou séries tous confondus.
Voir le feu de si près est terrifiant. J'ai vu le feu de près. J'aurais pu chanter cette si célèbre chansonnette, du temps de l'enfance, que j'ai toujours beaucoup aimée: "Au feu, les pompiers, la maison qui brûle..." Sauf qu'à ce moment-là, je ne chantais pas. Je hurlais plutôt et tambourinais au portes des voisins.
Au premier étage, une des chambres en flammes. Quand on a senti l'odeur, il était déjà bien tard. Une fois la porte ouverte, un appel d'air. Impressionnant.
Si ce n'était la promptitude des concierges (extincteurs) et des pompiers (comme dans les films!), tout l'étage supérieur étage serait parti en fumée et on ne parle même pas des apparts du dessus, dont queques-uns déjà envahis par la fumée.
Pire, si je n'avais pas été là, ce mercredi matin, j'aurais été à l'heure qu'il est... sans-abri.
Un être halluciné a laissé une bougie allumée (je me demande encore ce qu'il fabriquait avec une bougie!). Morale de l'histoire: ne laissez pas de bougies allumées, ou tout ce qui s'y rapporte. Une étincelle peut vous coûter un logement, ou dans ce cas précis, une pièce de votre logement.
Et éloignez-vous des êtres hallucinés. Dans la mesure du possible.
La vache. Que d'émotions.
Quand l'histoire reste dans les livres, c'est bien mieux!