Archives Janvier-Juin 2009
mardi 30 juin 2009
Quelques anecdotes, ici et là, sur les personnages en vedette de l'histoire...
Lydiane Maubourguet:
Elle a étudié les Lettres Modernes à l'Université du
Mirail, puis a fréquenté l'Ecole de Journalisme de Toulouse. Elle est
critique littéraire au sein de La Missive.
Mathis Petersen:
Ecrivain né à Hambourg. Son deuxième roman, die Treulosen en allemand, Les Traîtres, en français.
Nora Petersen:
Mère et épouse au foyer. Son fils a toujours passé avant tout. Quand elle ne pense pas à son fils, elle confectionne des tartes aux myrtilles.
Yves
Maubourguet:
Infographiste. Frère-poule.
Estelle
Ruiz:
Secrétaire dans une agence de voyages dans le centre commercial de Balma-Gramont. Ici, une des tables du restaurant Le Sherpa, rue du Taur, où Estelle aimait bien se rendre seule, pour un café et quelques gâteaux, quand elle quittait le travail plus tôt que d'habitude.
©L'Auteur Dans Tous Ses Etats: le Blog, juin 2009
Voilà, voilà...
Il est encore
temps de vous procurer le roman Délit Amical.
Pour en savoir plus, c'est ICI, et pour commander, c'est LÀ.
lundi 29 juin 2009
Encore quelques images clés...
"L'Etagère Blanche":
Voici une partie de l'immense étagère blanche, remplie de livres, se trouvant dans l'appartement de Mathis Petersen, lecteur vorace, qui avait tant fasciné Lydiane.
Hederichweg:
Rue paisible du quartier de Bramfeld dans laquelle vivent Nora et Jens Petersen, à Hambourg.
La Cité de l'Hers:
Quartier de Toulouse que l'on découvre grâce à Yves Maubourguet et sa compagne Estelle Ruiz, dont la rue Claudius Rougenet, abritant l'appartement du couple.
©L'Auteur Dans Tous Ses Etats: le Blog, juin 2009
Voilà, voilà...
Sont prévues ensuite des anecdotes sur les personnages du roman, à ne pas rater...
dimanche 28 juin 2009
Ou comment mieux mettre des images* sur
mon roman... C'est parti.
La Missive:
Le siège social de la fameuse agence de presse régionale où Lydiane Maubourguet a travaillé, rue de Bayard, au centre ville de Toulouse. La spécialité de la maison étant le magasine hebdomadaire La Missive, abordant des évènements politiques et culturels.
La rue du Pharaon:
Rue du domicile de Lydiane, riche en monuments et en hôtels particuliers, située dans le quartier des Carmes à Toulouse.
La gare de Hambourg:
Quelques scènes clés du roman s'y déroulent. Elle est d'ailleurs représentée en couverture du livre. Il s'agit de la gare la plus fréquentée de l'Allemagne au quotidien (entre 300 000 et 400 000 visiteurs).
La cité-jardin Hohnerkamp:
Complexe résidentiel du quartier de Bramfeld, et domicile de Mathis Petersen à Hambourg. La cité-jardin a été construite entre 1953 et 1954. Une occasion de vivre en ville et au vert à la fois...
La suite dans le prochain épisode...
* Ces images relèvent d'une oeuvre littéraire narrative de pure fiction. Elles sont donc à considérer comme tel: de la pure fiction et rien d'autre. *
©L'Auteur Dans Tous
Ses Etats: le Blog, juin 2009
samedi 27 juin 2009
Comment m'est venue l'idée
de ce roman...
J'ai essayé de me
glisser dans la peau d'un écrivain solitaire, en mal-être avec son
entourage entier, et dans celle d'une journaliste sans histoires,
s'évertuant à croire au bon fond des gens. J'ai voulu établir une
alternance, créer et partager, à la fois, la vie de personnages habitant
Toulouse et Hambourg, les deux villes où j'ai vécu le plus longtemps
jusqu'à présent, et où j'ai laissé le plus de souvenirs. Deux villes,
mais également deux cultures, que j'ai côtoyées et qui m'ont adoptée il y
a belle lurette.
J'ai voulu rendre hommage aux métiers de
l'écriture... Parce que l'on a tellement tendance à oublier qu'il y a un
écrivain derrière un livre, un journaliste derrière un article de
presse, de la sincérité derrière un écran...
©L'Auteur Dans Tous Ses Etats: le Blog, juin 2009
Prochain épisode: images clés ou comment mieux mettre des images sur le roman...
vendredi 26 juin 2009
Et
maintenant, le regard de l'Auteur sur son oeuvre...
Délit Amical est le reflet d'une société en pleine mutation. Et ce, tous continents confondus. Une société où l'on est trop vite passé de la machine à écrire à l'ordinateur, des lettres aux e-mails, des coups de fil aux SMS... Que cela représente une bonne ou une mauvaise chose est à débattre. N'empêche, les personnages de ce roman sont tous tirés de cette société en mutation, dans laquelle nous pouvons tous nous reconnaître.
Cette société où l'on passe plus de temps devant un écran d'ordinateur, s'évertuant à entretenir des relations virtuelles, que devant un bon repas en famille, un verre entre amis. Cette société où nous sommes constamment en quête de quelque chose de nouveau, quelque chose d'inédit pour laquelle nous nous sentirions transportés... Les nouvelles technologies connaissent un essor constant, car l'homme se lasse de tout et de plus en plus vite. C'est un être éternellement insatiable; il lui est donc difficile d'être heureux, car il veut toujours plus, et si possible, quelque chose de surprenant qui échappe à son quotidien. Illustration: Mathis et Lydiane.
Une société où nous sommes de plus en plus tournés vers nous-mêmes. On veut se convaincre que c'est le quotidien qui nous unit aux autres, et que c'est également lui qui nous désunit. Mais lorsque nous nous sentons en sécurité et dans le confort, le bien-être, nous ne pensons plus aux autres. Nous nous suffisons à nous-mêmes. Illustration: Lydiane et Lise.
L'amour familial, abordé par la complexité des rapports frère-soeur (Yves et Lydiane) et mère-fils (Nora et Mathis), démontre que l'on veut souvent le meilleur pour ses proches. Mais en les étouffant, les surprotégeant, on ne leur rend pas forcément service. Bien au contraire, on les démunit, on les transforme en des créatures fragiles, sans défense, à la merci des dures réalités du monde extérieur.
Je mentionne également les éternels préjugés envers les artistes et l'univers de la littérature, à des degrés bien différents. Ils existent bel et bien et ne sont pas près de s'estomper. Pourquoi? Parce que nous ne prenons pas la peine de s'intéresser aux différences. Ce qui est différent de nous est forcément bizarre, anormal, dépourvu de considération. Et pourtant, ce sont ces différences-là qui nous enrichissent, nous permettent de prendre du recul, mettent au défi notre tolérance et nous inculquent humilité pour que nous puissions être davantage réceptifs à ce qui nous entoure. Illustration: Mathis, Anton et Sophie.
Le matérialisme, la quête de l'argent, de la réussite et de la reconnaissance sociale, au risque de délaisser tous ces plaisirs, ces passions qui nous font vibrer et exister... Oui, un débat de plus à envisager. Cela vaut-il la peine d'exercer une acitivité professionnelle qui rapporte fortune et rang élevé, si l'on se sent de plus en plus consumé et dénué d'énergie positive à la fin? Ou devrait-on plutôt parier sur une activité aléatoire, mais qui permette de nous réaliser et d'être davantage en phase avec nous-mêmes?
©L'Auteur Dans Tous Ses Etats: le Blog, juin 2009
jeudi 25 juin 2009
Laura Kita Kejuo consacre un dossier
à son roman Délit Amical, paru en avril
2009, et explique, en premier lieu, ce qui l'aura conduite à choisir le
titre.
Dans le livre, il est
question de délit et d'amitié à la fois. Les deux se complètent dans
l'histoire. Le délit ne représente pas seulement le fait d'enfreindre la
loi. C'est aussi et surtout, dans ce contexte, synonyme de trahison.
Pourrait-on considérer qu'il y ait intrusion de trahison dans l'amitié?
Tout avis est subjectif et c'est au lecteur, aussi, d'interpréter. Ou
bien alors s'agirait-il d'une trahison qui ne se doit pas d'être prise
au sérieux, car amicale? Les deux cas sont observés dans le livre. Au
nom de l'amitié, tout semble possible, même trahir la confiance,
enfreindre des règles. Et qu'est-ce qu'un délit au sein d'une amitié?
Rien de grave, répondraient certains. Rien que l'on ne puisse
matérialiser, prouver, juger, jauger. Et c'est surtout ce qui pose
problème. Le délit est matériel. L'amitié est une notion abstraite et
totalement subjective.
©L'Auteur
Dans Tous Ses Etats: le Blog, juin 2009
mercredi 24 juin 2009
Chers amis,
L'Auteur Dans Tous Ses Etats et Son Compagnon le Diabète ont le
plaisir de vous faire partager aujourd'hui le gâteau de leurs noces de
Rose - eh oui, 17 ans de vie commune, déjà - . Chaque année est une
victoire de plus. La marque du progrès de la science et les concessions
prises en compte y sont aussi pour beaucoup...
Longue vie à
nous!!!
mardi 23 juin 2009
Je consacrerai, les jours suivants, un dossier à mon
roman Délit Amical,
en plusieurs parties. Je dois bien cela à mes lecteurs...
Vous
ne perdez rien pour attendre...
lundi 22 juin 2009
Ici, à Rio, la fête
de la Musique n'a pas officiellement lieu tous les 21 juin. Pourquoi?
En même temps, c'est un peu la fête tous les jours ici, ou du moins,
bien souvent. La musique est présente tous les jours, surtout dans le
coeur des gens, alors...
Ma fête de la Musique s'est déroulée hier quand même. Les dix-huit ans
d'un cousin, les retrouvailles de tous les membres de notre immense
famille: tante, oncle, cousins, grand-cousins, grand-tantes, amis de la
famille et amis des amis, qui sont pour moi autant de tantes, oncles,
parrains ou marraines, appelez cela comme vous voudrez. Bref, famille
tout court, selon moi.
Barbecue, plats d'ici, plats d'ailleurs, musique à fond la caisse, tous
genres confondus, et tout le monde au micro pour le chant, par-dessus
le marché. Et tout cela, dans la joie et la bonne humeur, on s'entend...
L'espace d'un instant, nous nous sommes réunis, chacun ayant laissé ses
soucis et autres maux de tête à la maison, en couveuse jusqu'au lundi
matin... Pour faire la fête, manger, boire, sans se polluer
l'existence. Profiter des instants, en gros. Ce que nous devrions tous
faire, n'est-ce pas?
21 juin, FÊTE DE LA
MUSIQUE !!!
L'euphorie toulousaine habituelle de ce jour-là me
laisse d'incroyables souvenirs...
Ci-dessous un extrait du morceau Summer
In The City du chanteur britannique Joe Cocker, que mon
père aimait tant... Et moi aussi, en passant.
Hot town, summer in the city
Back of my neck gettin' dirt and gritty
Been down, isn't it a pity?
Doesn't seem to be a shadow in the city
All around people looking half-dead
Walking on the sidewalk, hotter than a matchhead
But at night it's a different world
Go out and find a girl
Come on, come on and dance all night
Despite the heat it'll be alright
And babe, don't you know it's a pity
The days can't be like the nights
In the summer in the city
In the summer in the city
Cool town, evenin' in the city
Dressed so fine and lookin' so pretty
Cool cat lookin' for a kitty
Gonna look in ev'ry corner of the city
'Til I'm weezin' at the bus stop
Runnin' up the stairs gonna meet ya on the roof-top
But at night it's a different world
Go out and find a girl
Come on, come on let's dance all night
Despite the heat it'll be alright
And babe, don't you know it's a pity
The days can't be like the nights
In the summer in the city
In the summer in the city
[...]
Joe
COCKER, Summer In The City, extrait de l'album Have A
Little Faith, 1994.
Et puisque nous y sommes, jetons un coup d'oeil à la vidéo et dansons un peu... > Summer In The City
samedi 20 juin 2009
Un après-midi à ingurgiter du thé noir, en tentant
de se réchauffer dans le climat frigorifique de Rio. Je ne me fais pas
d'illusions. On est à la veille du 21 juin et, si l'on prépare à
affronter l'été dans d'autres coins, ici l'hiver pointe son nez.
Et
moi, en attendant, je vous prépare un nouveau petit trésor. Une petite
surprise pour le mois d'août. Un peu de patience...
vendredi 19 juin 2009
Mes cahiers. Des idées confuses.
Le cerveau bizarrement ragaillardi, malgré l'heure tardive. Tardive pour
qui? Sûrement pas pour moi, cette grande insomniaque que je suis...
Des
projets plein la tête, des idées de romans, de nouvelles, de pièces de
théâtre, ça et là. Je m'effraie, je me fais peur. Mais les idées sont
toujours bienvenues, car je les note sur un cahier et je les reprends à
tête plus reposée quelques jours, quelques semaines ou quelques mois
plus tard. Je ne tais plus mes élans. Quand des personnages se
dessinent, des scènes furtives me viennent à l'esprit, aussi absurde que
cela puisse me paraître alors, hop, je note tout. Finie l'époque où ces
éternels "je n'ai pas assez de temps", "pas l'envie", et autres blablas
me m'empoisonnaient l'existence. Le temps ne nous attend pas, il file
et n'a pas que ça à faire. A nous de l'attraper, à la volée, dès que
possible.
C'est ce que je fais. Pour l'écriture. Pour la lecture.
Le reste est encore un peu à la traîne, mais avec le temps, avec la
dose de motivation qu'il faut, tout reprend de l'ordre et s'arrange.
Même la ville reprend des couleurs vives, chaque jour je vois Rio
différemment. Un peu plus belle, un peu plus radieuse à chaque fois...
Beaucoup
beaucoup plus tard en ce jour, ce sera soirée cinéma. Je m'en réjouis
d'avance!
mardi 16 juin 2009
Lumières sur...
Auteur:
Richard K. Breuer
Titre: Schwarzkopf
(Policier/Comédie)
Ce bouquin sort aujourd'hui et, après en avoir lu
un extrait, j'attends de pouvoir le lire avec impatience!!!...
Pour ceux qui
comprennent ou, mieux, parlent l'allemand, visiter de toute urgence le
site de l'auteur autrichien Richard K. Breuer ICI, pour en découvrir
davantage et vous ruer pour commander.
Et pour les
autres, heu... Contentez-vous déjà d'en admirer la couverture! Et
dépêchez-vous de vous mettre à l'allemand, il serait temps...
lundi 15 juin 2009
Après quelques jours de soleil, le froid revient au
grand galop. On s'approche dangereusement de l'hiver, ici. Ce n'est pas
l'hiver des Alpes, mais qu'importe, les Cariocas ont froid.
Ce
week-end qui vient de passer, c'est la plage du côté du quartier
d'Ipanema qui était là pour témoigner. L'eau était froide, les touristes
nombreux, mais les passants d'ici rares. Au lieu des shorts et des
tongues, on a sorti les pantalons et les chaussures fermées. Pour
grignoter et boire, on était plus à l'abri à l'intérieur des cafés, qu'à
l'extérieur.
Ce temps est propice pour gribouiller. Penser,
rêver, écouter de la musique. Et gribouiller, encore.
jeudi 11 juin 2009
[ L'art est avant tout un hymne à
l'ouverture d'esprit. ]
Charlotte
BOYER, mai 2009 (Carnets, www.charlotteboyer.fr)
lundi 8 juin 2009
Ci-dessous, la critique de mon deuxième roman, paru
en avril 2009, par Astrid Desmarécaux, auteur de Piment
et Guacamole:
juin 09 - Délit
Amical, le dernier
roman de Laura Kita Kejuo, est un livre qui mélange à la fois suspense,
humour et petits tracas quotidiens et qui a eu le mérite de me faire
lire un ebook* en deux jours.
Délit Amical,
comme son titre l’évoque si bien, c’est l’histoire d’une amitié
particulière entre Lydiane, journaliste toulousaine à la Missive et
Mathis, écrivain allemand solitaire vivant à Hambourg. Les deux héros
font virtuellement connaissance grâce au site School Yard et
entretiennent une correspondance pendant des mois. Même s’ils ne se
sont jamais rencontrés en chair et en os, ils ont très vite
l’impression de se connaitre depuis toujours et ne peuvent plus se
passer de leurs emails quotidiens. Un beau jour, Lydiane décide de
faire le grand saut et de partir à Hambourg, ville où elle a vécu, pour
rencontrer son « ami virtuel ».
Pourquoi j’ai aimé Délit
Amical ?
Premièrement, parce que ce bouquin traite d’un phénomène de société
bien actuel : les amitiés virtuelles. Le net regorge de sites de
rencontres, de retrouvailles, de forums, de pages perso et les accros
d’internet passent plus de temps à entretenir une amitié de passage
plutôt que de vivre une vraie vie. Je suis bien placée pour le savoir
car il est très difficile de me décrocher de mon écran. Cependant, ces
amitiés ne sont pas toujours des farces et il est effectivement
possible de faire de belles rencontres. Dans Délit Amical, Laura Kita
Kejuo joue sensiblement sur ces deux aspects et je suis persuadée que
plus d’un lecteur se reconnaitra.
Deuxièmement, parce que j’ai
adoré voyager de Toulouse à Hambourg avec Lydiane et Mathis. L’auteur
n’entre pas dans de grandes descriptions détaillées mais c’est
largement suffisant pour nous faire visualiser les endroits et les
atmosphères. On sent que l’auteur connait ces deux villes comme sa
poche** et, personnellement, j’avais l’impression de me promener dans
la douceur de la ville rose et dans le froid hivernal d’Hambourg.
Troisièmement, pour la présentation très pro et le choix des mots. On
entend souvent que les autoédités ne savent pas écrire, que leur livre
a été refusé par toutes les maisons d’édition et que le dernier recours
de ces « idiots illettrés qui se prennent pour des écrivains », c’est
l’autoédition. Etant moi-même une autoéditée, je sais bien que cela
n’est pas toujours vrai (mais malheureusement ça l’est parfois) car
j’ai déjà lu d’excellents livres d’auteurs indépendants (je préfère ce
terme-là !) et Laura Kita Kejuo ne déroge pas à la règle. La mise en
page est très professionnelle, l’orthographe et la structure des
phrases parfaites (à part deux ou trois coquilles en tout) et le
vocabulaire est recherché. Ca parait tout bête, voire évident mais cela
ne l’est pas. Etre écrivain, ce n’est pas assembler des mots les uns
après les autres pour retranscrire une idée, c’est trouver la bonne
manière d’exprimer le plus exactement possible cette idée et Laura Kita
Kejuo maitrise parfaitement cet art.
En conclusion, Délit
Amical est un livre que l’on prend plaisir à lire … vite car on veut
savoir la suite et Laura Kita Kejuo est un auteur à découvrir qui
mérite d’être lu.
*J‘adore lire mais j’avoue que j’ai vraiment du
mal à tenir plus d’une heure sur un ebook même si le livre est
passionnant.
**Si je ne me trompe pas, Laura Kita Kejuo a
vécu à Hambourg et à Toulouse.
Pour commander le livre, c'est par ICI.
jeudi 4 juin 2009
Lumières sur...
Auteur: Collectif
d'Ecrivains
Titre: Des Bonbons Ou La Mort
(Nouvelles)
[ The BookEdition ]
Halloween et son cortège de joie, de malheur, d’illusion et de
cauchemar. La vie et la mort se mêlent en ce jour maudit. Les bonbons
sucrés ont un arrière-goût de cyanure. Découvrez quatorze nouvelles qui
vous montreront l’envers du décor. Des enfants trop naïfs qui jouent à
des jeux pas si innocents. Malicia, une Cendrillon bien cruelle.
L’histoire de deux vieilles femmes qui avaient tant de choses à cacher.
Des cadavres qui donnent tout son sens au « jour des morts ».
« Des bonbons ou la mort » ...
Cette petite phrase anodine, ne vous fera plus sourire.
Le temps d’une nuit d’Halloween…
Quatorze auteurs réunis par la passion des mots.
Le sommaire:
Fantôme
d'halloween - Chloé Belilya
Parce qu'aujourd'hui c'est
permis - Marie Aude Boniteau
Celui qui - Charlotte
Boyer
Nuit gâtée - Rémi Chervier
Le cauchemar
d'Halloween - Aelita Prives
Il était une fois ... un
cauchemar - Fallen Doll
La maison de Sarah - Nolween
Eawy
Une belle morte - Emelune
La moisson -
Jarod Lets
Halloween est mort - Clara Brishkaba
La
nuit H - Maxime Loël
Shadow’s moon - Aude Réco
Le
jour des Morts - Arnaud Torres
Quartier - Nicolas V.
Pour vous procurer le recueil de nouvelles, c'est par ICI.
mercredi 3 juin 2009
Il fait un froid bizarre ici, à Rio.
C'est sûr, l'ambiance est
sinistre depuis ce crash d'avion de dimanche soir.
Il fait un froid humide,
les plages sont désertes depuis quelques jours, personne n'a envie,
semble-t-il, d'attraper une pneumonie en se baladant en bikini avec des
températures dignes des dix à quinze degrés... On les comprend, moi la
première.
Bizarre. Je me plaignais tant des quarante degrés du mois de
février - l'été pour nous - ... La température semblait s'être
stabilisée entre-temps à environ vingt-cinq degrés. Cela est
supportable, car nous sommes en bord de mer, rien à voir avec les
canicules infernales de Douala ou du mois d'août de Toulouse. J'étais
donc bien contente d'avoir trouvé un climat intermédiaire. Mais, euh...
Tout cela a brusquement chuté et on est passé du jour au lendemain à dix
degrés. Mon corps refuse d'endosser ce brusque changement, il n'est
franchement pas d'accord.
J'avais balancé mes affaires d'automne et d'hiver
au fin fond de l'appart', persuadée que je n'en aurais plus eu besoin
avant fort longtemps. Ereur. Maintenant, il me faut fouiller les
armoires, à la recherche de chaussettes, pulls polaires - si, si, peine à
croire que je sois devenue si frileuse -, dans le pire des cas, j'ai
conservé une écharpe. Pour le cas où je congèle cette nuit...
Il fait froid. Je suis un
peu abattue, depuis les derniers évènements. La Sauterelle a pris le
vol AF une semaine avant le drame, fort heureusement. La vie ne tient
qu'à un fil et nous devons profiter de nos proches, tant qu'il est
temps...
mercredi 3 juin 2009
Silence en
mémoire de...
Vol AF 447 - Rio de Janeiro GIG - Paris CDG, 31 mai 2009
lundi 1 juin 2009
Les
conseils que je pourrais donner à d'autres confrères novices...
Lire. Cela permet de se
familiariser avec toutes sortes de vocabulaire, de styles et de genres.
Cela ouvre l'esprit.
Ecrire. Tout et n'importe quoi. Rien de mieux que la
pratique pour acquérir de l'aisance dans ce que l'on fait. J'ai d'abord
commencé à gribouiller des histoires pour lesquelles je ne me sentais
pas assez en confiance pour leur attribuer une fin, mais qu'importe. Je
les écrivais quand même. J'ai fabriqué des mini pièces de théâtre sans
queue ni tête, mais qu'importe. Elles m'ont servi à travailler les
dialogues. J'ai côtoyé mon journal intime pendant dix ans. C'était le
moyen de coucher toutes émotions et d'écrire à la première personne du
singulier.
Il
faut tenter de s'essayer à tous genres, même si l'on ne choisit d'en
suivre qu'un à la fin. On y gagne en expérience.
En gros, allier le travail
au don, pour développer son talent...
Mon secret pour écrire, c'est...
Je n'en ai pas. Mais j'ai
une imagination débordante et je suis une grande rêveuse. Ce sont
d'excellentes armes pour créer des histoires et des personnages. Et...
Je lis, également. De tout.
En
ce moment, je travaille sur...
Sur la future publication
d'un recueil de nouvelles traitant de la catastrophe de l'usine AZF de
Toulouse, en 2001. J'en dirai plus en temps et en heure.
vendredi 29 mai 2009
J'écris... Tous les
jours? A un rythme particulier?
Je ne suis
pas de rythme. J'écris selon mes humeurs et le temps dont je dispose,
selon les jours. Je peux écrire sans relâche pendant quelques jours,
puis prendre plus de recul les suivants. De toute façon, près ou loin du
papier, mes personnages ne me quittent jamais. Ils sont aussi présents
que mon entourage, quand ils ne le sont pas davantage.
Ecrire dans mon coin,
c'est...
La seule solution, bien souvent. Je
dois être en retrait pour raconter, transcrire les scènes, être en
phase avec ce que j'écris. Je dois perdre, l'espace d'un instant, tout
contact avec la réalité et le monde extérieur. Allez donc tenter
d'expliquer cela à votre entourage...
Le meilleur conseil
que l'on m'ait prodigué lorsque j'ai commencé à écrire...
J'en
ai tellement reçu et de toutes parts... Mais j'ai retenu ceux-ci: ne
laisser que rien, absolument rien, n'entache mon amour pour l'écriture.
Prendre exemple, m'enrichir de toute victoire comme de toute claque,
tout en restant moi-même.
jeudi 28 mai 2009
L'écriture a commencé quand...
Quand
j'avais environ onze ans, j'aimais déjà gribouiller. Des petites
histoires, bourrées de dialogues, que je commençais aisément et que
j'abandonnais sans savoir comment leur attribuer une fin qui tienne la
route...
Ecrire...
Plus facile avec le temps?
Oui et non.
C'est
comme lorsque l'on prend l'habitude de faire de la gym régulièrement,
nos membres nous semblent moins rouillés qu'au départ, où l'on pouvait à
peine lever une jambe...
Je me sens plus à l'aise dans la rédaction,
parce que je pratique, j'écris souvent. Mais cela est très difficile
également, parce que je m'impose des exigences qui contrarient ma
passion. Mon esprit critique sur ce que j'écris m'aide à progresser,
mais peut occasionner un blocage, cette fameuse page blanche, qui n'est
autre que le reflet de cette peur de ne pas être à la hauteur.
Ce qui me conduit à écrire
aujourd'hui, c'est...
Par
moments, un quotidien morne, à la sauce peu relevée... Tout ce que je
vois, perçois, qui me tansporte, me révolte, m'emplit de nostalgie ou de
bonheur. L'envie de laisser une empreinte du vécu et du ressenti dans
le temps. Un besoin de vivre une vie parallèle, l'impression d'être en
harmonie avec mes rêves, mon imagination et l'imaginaire. Entre autres.
mercredi 20 mai 2009
Le livre préféré de mon enfance, c'était...
Heidi
de Johanna Spyri, et je devais avoir neuf ans. A l'Ecole Française de
Berne, que je fréquentais à l'époque, cette lecture était au programme.
L'histoire de cette petite fille adorable aux cheveux noirs bouclés et
aux joues roses, amoureuse de ses Alpes et attachée à son grand-père,
m'a longtemps fascinée... Un des rares bouquins que j'aie lu trente-six
fois, au bas mot, sans me lasser!
Dans la maison de mes parents, il y avait...
Une
immense étagère blanche, qui prenait tout un pan de mur de la pièce qui
servait de bureau à mon père. Rien que des livres, des livres, des
livres. Je me disais: "Je vais demander à Papa et Maman si je peux avoir
un petit coin de l'étagère pour y mettre mes livres, comme eux." En
passant, on retrouve cette fameuse étagère blanche dans mon roman Délit
Amical.
Les personnes qui ont déclenché en moi le goût de la lecture et
de l'écriture...
Mon père, pour la lecture,
bien que cela remonte à tellement loin qu'il me soit difficile de
l'affirmer avec précision... Mon enseignante de Français au collège pour
l'éveil à l'écriture, au théâtre et à la mythologie grecque, et pour
laquelle je conserve une profonde admiration.... Elle me faisait penser à
une magnifique déesse, descendue tout droit du royaume grec. Je la
considère comme ma marraine de plume.
samedi 16 mai 2009
L'Auteur Rédempteur!!!
Corcovado, Rio de Janeiro, Mai 2009
vendredi 15 mai 2009
Ma critique du recueil de nouvelles de Charlotte BOYER, A Jamais et de Tout Temps, à lire ICI !
Laura Kita Kejuo, auteur et traductrice brésilo-camerounaise de langue française, est née en 1980 à Yaoundé. Son enfance et son adolescence se déroulent entre le Brésil, la Suisse, l'Allemagne et le Cameroun, où elle passe un bac littéraire; puis elle suit des études de Langues Etrangères Appliquées à l'Université de Toulouse II. Après avoir travaillé à Yaoundé comme assistante trilingue, elle s'aventure du côté de Rio de Janeiro, où elle traduit et écrit.
jeudi 14 mai 2009
Rio est decidement une ville magnifique.
Nous avons visité la statue du Christ Redempteur aujourd'hui (Sauterelle est toujours là, alors rien de tel pour jouer les touristes...!)... Et pris un petit train au quartier de Cosme Velho, pour y accéder, en hauteur.
Tout en haut, vue sur la statue impressionnante de près et sur la vue divine de la ville...
Elle est pas belle ma ville???
mercredi 13 mai 2009
Journée fantastique avec la
famille réunie à Petropolis, "ville de Pierre" charmante, située à une
quarantaine de kilomètres de Rio de Janeiro, que j'ai découverte
aujourd'hui et dont mon enchantement dépasse l'entendement...
Son
climat me rapelle celui du Pas de la Case, pas loin des montagnes,
soleil radieux, air pur, sec et frisquet. Ce que je préfère, en général.
Qui
sait, dans quelques années, quand je serai millionnaire, y
acquérirai-je un petit abri de week-end...?
Mon âme de petite
globe-trotteuse est réapparue aujourd'hui. Tant mieux. C'est que
l'Auteur Dans Tous Ses Etats se perd et se retrouve, je semble aussi
changeante que les saisons :)
(www.snyder-gallery.com)
lundi 11 mai 2009
Toujours en plein coup de blues de
post-publication...
Il a ete difficile pour moi ce coup-ci de
devoir laisser partir mes personnages, ces etres fabriques par mon
esprit durant des mois et qui ont fini par se developper d'eux-memes,
pour ensuite prendre leur envol.
Quand je me retrouve seule en
fin de soiree, le moment que je prends pour m'isoler par rapport a
l'ecriture ou rever a mes personnages, je ne retrouve plus Lydiane et
Mathis. Ils font leur vie ailleurs maintenant et ne vivent plus sous mon
toit. Cela fait bizarre.
Cette sensation de vide me paralyse un
peu pour la creation ces derniers jours et est responsable, je le
soupconne, de cet etat de lethargie et de manque d'energie qui m'habite
depuis une semaine.
C'est sur, cela passera tout seul. Mais c'est
singulier que cela m'atteigne autant ce coup-ci. Ecrire c'est acquerir
des armes. Mais c'est aussi s'exposer a une vulnerabilite plus profonde,
a chaque fois.
mercredi 6 mai 2009
Journee avec Sauterelle, la little sister qui est arrivee fraichement hier pour quelques temps de conges a Rio (desolee, il n'y a pas d'accent sur ce clavier bizarre!). La Sauterelle est toute belle et mimi, gracieuse... Elle a davantage muri en un an, mais reste toujours la Sauterelle d'avant, celle qui gambadait partout, courant derriere mille jeux a la fois, pleine de reves et d'ambitions.
Cela fait un bien fou de se retrouver un peu en fratrie. Meme si l'on est deja adultes, on se retrouve toujours quelque peu en enfance, de nouveau. Grande Soeur et Petite Soeur qui deambulent dans les rues de la Ville Merveilleuse, quelle joie...
Et cette annee, aujourd'hui plus precisement, Sauterelle a fete ses un an de plus avec nous :)
jeudi 30 avril 2009
Le Blog de l'Auteur Dans Tous Ses Etats a très
exactement deux ans aujourd'hui ! Eh oui, déjà !
Il me supporte
depuis deux ans, alors je lui dois bien ce gâteau que j'ai confectionné
avec amour pour lui... Non?
Santé et longue vie!
(N'oubliez
pas de lui souhaiter joyeux anniversaire, il pourrait se vexer, on ne
sait jamais...)
mercredi 29 avril 2009
[ Une loi ne pourra jamais obliger un homme à m'aimer, mais il
est important qu'elle lui interdise de me lyncher. ]
Martin LUTHER KING
lundi 27 avril 2009
Voilà,
voilà... Enfin, enfin...
Auteur: Laura KITA KEJUO
Titre:
Délit Amical
(Roman)
©La Plume des
Orangers, avril 2009
200 pages
Une amitié virtuelle au-delà
frontières. Et sans limites...
(Copyright: La Plume des
Orangers)
Lydiane Maubourguet, journaliste à "La
Missive" et vivant à Toulouse, fait la connaissance sur le Net de Mathis
Petersen, un écrivain allemand à la sensibilité touchante, grand
solitaire déçu par une société qu'il estime devenue trop matérialiste.
Aussitôt, une mystérieuse complicité s'installe entre les deux
internautes, qui entretiennent une correspondance quotidienne.
C'est alors
que Lydiane décide de se rendre quelques jours à Hambourg afin de
rencontrer son correspondant "pour de vrai".
Mais derrière
l'écrivain fascinant se cache un être meurtri dont les angoisses et la
personnalité trouble ne tardent pas à faire surface...
Rendez-vous ICI pour commander le roman, ou LÀ pour découvrir un extrait.
Les toutes toutes premières impressions ressemblent à ça:
"Délit
Amical explore les thèmes du masque virtuel, qui dissimule des êtres
fragiles, seuls face à leurs doutes et leurs appréhensions. Il y a à la
fois de la passion et du désespoir du début à la fin du récit.
Remarquable et déconcertant." 04/09
Nedra ALI, journaliste
"Il
y a un Mathis Petersen à chaque coin de rue. je suis terrifiée à l'idée
d'en croiser un." 04/09
Sabrina PRAT-MORENO, ingénieur éditorial
"Du
vin aigre-doux." 04/09
Gaël
FAVRE, journaliste
"La plume de Laura est légère et
parle d'une manière prudente des revers des amitiés sur le net." 05/09
Jo Ann von Haff, auteur de Gazelle
dimanche 26 avril 2009
Extrait de l'article posté ICI
[...]
J'écris parce qu'il suffit d'une feuille et d'un stylo,
Même
le dernier des cancres peut s'exprimer pas besoin de diplôme de philo,
J'écris
surtout pour transmettre parce que je crois encore au partage
A
l'échange des émotions un sourire sur un visage,
Alors on n'en
repeindra pas le monde on est juste des chroniqueurs,
D'un quotidien
en noir et blanc qu'on essaye de mettre en couleur,
Mais si on ne
change pas le monde le monde ne nous changera pas non plus,
On a du
coeur dans nos stylos et la sincérité comme vertu
[...]
Je M'écris , Kery James feat. Grand Corps Malade et Zaho
vendredi 24 avril 2009
Mon impatience de vouloir tout
réaliser avec succès en même temps s'est atténuée. Et, du coup, les
choses marchent à leur rythme et s'arrangent, petit à petit.
J'ai
trouvé un terrain d'entente avec le fameux Délit Amical,
qui faisait des siennes depuis quelques semaines et mettait mes nerfs à
vif. Le stress pré-publication s'est éloigné, en quelque sorte, et ce
n'est pas plus mal, j'ai besoin d'avoir les idées claires.
Je
mérite bien une petite promenade en soirée sur l'Avenida Atlântica, sur
la célèbre plage de Copacabana...
mercredi 22 avril 2009
Zen. J'ai décidé de rester zen face aux évènements.
Oui, car rien, mais rien ne se passe tel que je le souhaite, les Dieux
Grecs de l'Ecriture ne veulent pas collaborer et me mènent la vie dure.
Mais je vais tout prendre avec philosophie. Les choses s'arrangeront par
elles-mêmes, si je remplis ma part du contrat!
Ne penser plus à
rien, pendant quelques heures... Impossible. Mes personnages me hantent
tout le temps, cela tient du miracle, lorsqu'ils me laissent respirer.
Mais aujourd'hui, ils me feront bien cette faveur.
J'ai besoin
d'inspiration, pour trouver une solution à tous les problèmes qui
s'offrent à moi les jours à venir.
La suite dans les prochains
épisodes...
lundi 20 avril 2009
J'ai achevé la lecture du roman Le
Dernier Jour d'Un Condamné de Victor HUGO. Le thème, sur la peine
de mort, est sombre et déprimant, mais l'auteur emploie un vocabulaire
et dispose d'un style que j'apprécie. Je suis un peu de la vieille école
sur ce point, pour moi, le langage écrit et le langage oral sont deux
choses bien distinctes.
Comme je suis un peu sur la lancée des
Grands Classiques, et que mes humeurs de lectrice varient d'un moment à
l'autre, je profite pour découvrir certaines oeuvres, c'est toujours
bien de se forger sa propre opinion...
Je vais attaquer Jane
Eyre de Charlotte BRONTË. Ne me demandez pas ce qu'il me prend. Je
crois que l'adrénaline me joue de sacrés tours en cette période de
pré-publication, je fais ce que je peux pour rester en harmonie avec Délit
Amical -mon dernier roman, bientôt publié, pour ceux qui seraient
perdus. Il y a des jours où je frise la folie à cause de mes écrits.
Mais je n'écris sans doute pas pour rien, tout a sa valeur.
Alors,
faisons preuve d'un peu de patience, le temps est une notion relative
et la lecture fait passer le temps.
samedi 18 avril 2009
Une baisse de moral, ce week-end.
Cela arrive lorsque l'on pense à trop de choses à la fois et que l'on
sait que l'on ne pourra toutes les résoudre en même temps. Ou quand on
ne sait pas trop quelle direction donner à sa vie, même si l'on est
persuadé que l'on souhaite changer de direction...
Gérer
l'écriture, un revirement professionnel et d'autres contre-temps
familiaux et d'ordre privé puise l'énergie. Et je n'ai pas beaucoup de
quoi recharger mes batteries, en ce moment. Demain sera un autre jour,
et je n'ai plus tant envie de regarder vers les ondes négatives.
Bah,
tant que je continue à écrire, c'est que les choses doivent encore
tourner un peu rond...
vendredi 17 avril 2009
Entre les nouvelles technologies
et mon roman à paraître qui me causent du fil à retordre, je ne sais
plus où donner de la tête... Des fois, les choses ne se passent pas du
tout comme on le voudrait, à croire qu'elles le font exprès pour mieux
nous embêter! Le mieux est de retrouver son calme après un peu de
méditation.
A chaque jour suffit sa peine. Demain, j'aurai une
conversation sérieuse avec Délit Amical et lui demanderai s'il
ne pense pas que ce serait plus simple pour nous deux, s'il collaborait.
L'écriture
semble être une véritable guerre sainte que les auteurs mènent, avec
avantages et inconvénients. Pourquoi? Tout simplement parce qu'ils
s'investissent corps et âme et que peu de personnes estiment cette
guerre sainte à sa juste valeur. Et à cause de cela, les auteurs se
lèvent tous les matins et doivent se redonner une once de courage qu'ils
puisent je ne sais où. Cette once de courage et de détermination qui
leur permettra de révéler la magie dans leurs mots, leurs histoires,
leurs personnages...
Je n'ai pas encore fini la lecture du roman
de Victor Hugo. Mes impressions à chaud, plus tard.
jeudi 16 avril 2009
On m'a refilé tout récemment un
livre de Victor Hugo, Le Dernier Jour d'Un Condamné. J'ai dû
lire ce bouquin en Seconde, en mode lecture obligatoire... C'est drôle,
je n'avais jamais remarqué à quel point le titre était déprimant :)
Il
n'est pas très gros, environ 70 pages, je vais le relire, entre-temps
j'ai oublié le contenu... Je m'étais promise de refaire une cure des
grands classiques... Même si ma première expérience avec Le Rouge Et
Le Noir de Stendhal, il y a quelques mois, m'a traumatisée, à vrai
dire (trop long et trop pénible).
Allez, c'est parti pour un tour de
lecture!
mardi 14 avril 2009
Ma soeur, la Sauterelle, arrive
bientôt en vacances ici, à Rio de Janeiro et j'ai hâte! Presque un an
que nous ne sommes plus revues...
Vivement la fin avril!!!
Je t'ai promis, Papa, que je ferais tout pour aller au bout de
mes rêves...
Ne t'en fais pas, je suis déjà sur le chemin!
dimanche 12 avril 2009
Découvrez
ci-dessous le résumé de Délit Amical, mon deuxième
roman, qui sera disponible dès le 27 avril 2009!!!
Lydiane
Maubourguet, journaliste à "La Missive" et vivant à Toulouse, fait la
connaissance sur le Net de Mathis Petersen, un écrivain allemand à la
sensibilité touchante, grand solitaire déçu par une société qu'il
estime devenue trop matérialiste. Aussitôt, une mystérieuse complicité
s'installe entre les deux internautes, qui entretiennent une
correspondance quotidienne.
C'est alors que Lydiane
décide de se rendre quelques jours à Hambourg afin de rencontrer son
correspondant "pour de vrai".
Mais
derrière l'écrivain fascinant se cache un être meurtri dont les
angoisses et la personnalité trouble ne tardent pas à faire surface...
©
La Plume des Orangers, 2009
jeudi 9 avril 2009
Je suis quelque peu contrariée
par les nouvelles technologies, qui ont décidé ne n´en faire qu´à leur
tête... Je ne comprendrai décidément jamais rien à l´univers des
Sciences...
Je suis bien soulagée d´avoir choisi la voie littéraire,
beaucoup plus aléatoire, qui me convenait mieux à l´époque... C´est
toujours le cas.
Je préf`re lire, écrire, l´univers des langues et
des cultures étrangères. Bizarre, je n´ai jamais pu faire confiance aux
maths. Ni aux Sciences Physiques, ni aux nouvelles technologies... On ne
sait jamais à quoi s´attendre avec eux...
mercredi 8 avril 2009
Enfin, quelques bonnes nouvelles...
mardi 7 avril 2009
L´Auteur que je suis n´est toujours pas sortie de la brume...
Internet me joue de bien vilains tours, ainsi que les dieux grecs, mais avec un coup de pouce de leur part, demain tout rentrera dans l´ordre. D´autant plus que le pain sur la planche s´accumule et qu´il y a de quoi s´occuper pendant bien des semaines à venir...
J´implore les dieux grecs, qu´ils me viennent en aide!
J´espère que j´aurais bien plus de bonnes nouvelles à vous annoncer demain!
lundi 30 mars 2009
Jeudi, la brume se dispersera!
Je reviendrai officiellement à la civilisation...
En attendant, j´ai pas mal de boulot, le Bled, le Bescherelle et le Petit Robert seront mes plus fidèles compagnons pendant les jours qui suivront... Pour la bonne cause, comme d´habitude!
A plus! :)
Auteur: Yann MOIX
Titre: Anissa Corto
(Roman)
(Amazon.fr)
La vie est peuplée de fantômes, pensées violentes, réminiscences douloureuses, qui habitent le narrateur. Son plus grand amour, une noyée de quatre ans, le hante alors que cette disparition marque au fer rouge son coeur d'enfant et l'année 1972. Une année interminable qui s'étire jusqu'à l'âge adulte et le garde emprisonné dans son élan mortel. Quand apparaît Anissa Corto, le narrateur croit pouvoir oublier ses fantômes. Commence alors pour lui une autre traversée du désert amoureux : une passion pour un être qui semble intouchable...
Mon Humble Avis: Le personnage est ici obsédé par Anissa (précédemment également par une autre fillette depuis ses quatre ans), cette fille dont il rêve à chaque instant, qu´il suit à tout moment et dont il connaît les moindres détails de l´existence. Mais s´il excelle dans l´art d´imaginer et de créer avec précision diverses situations dans son esprit perturbé, il semble incapable d´effectuer un simple pas: celui de simplement aborder Anissa. Ce blocage lui inflige une perpétuelle torture, le conduisant à perdre tout contact avec la réalité.
L´auteur décrit et explore avec détermination le thème de l´être aimé inaccessible. Le personnage principal est, tout au long de l´histoire, à deux doigts d´atteindre ce qu´il désire le plus... Et pourtant, il érige lui-même cette barrière, s´interdisant l´accès à ce qui donne le plus de sens à sa vie. Le propre de l´être humain, donc: avoir le bonheur à portée de main et bloquer soi-même toutes les issues permettant d´y parvenir.
vendredi 20 mars 2009
La couverture de mon prochain roman, Délit Amical, qui sera publié le 27 avril 2009!!!
dimanche 15 mars 2009
Une canicule d´enfer, cette
semaine qui vient de s´écouler et, vivement que les dieux m´entendent,
elle est censée prendre fin dans les jours qui viennent. Mais en même
temps, cela fait des semaines que l´on nous promet de la fraîcheur...
Dès
demain, c´est une nouvelle semaine qui pointe à l´horizon.
Je
suis ragaillardie. La vie est belle et les oiseaux chantent. Euh,
enfin... J´entends plutôt les Cariocas qui chantonnent, qui sourient à
la vie. Et c´est drôlement contagieux, heureusement. Parce que je vais
avoir besoin de cette contagion. J´ai un sacré boulot de correction qui
m´attend. J´ai pensé que je pouvais prendre des vacances et lui aussi,
par la même occasion... Mais hélas, si moi j´ai décidé de prendre deux
jours de congé, lui a décidé de m´attendre sagement, ce dimanche soir,
sur le coin du bureau. Dans les quelques heures ou minutes, à mon avis,
qui suivent, le boulot de correction va se mettre à hurler de rage et de
frustration. Et je n´aime pas les cris et engueulades de fin de
week-end... Alors, je m´occupe de rattraper le coup, avant qu´il ne soit
trop tard!
Je file.
mercredi 4 mars 2009
lundi 2 mars 2009
Oui. Dans tous mes états. Sens dessus-dessous.
A travailler sur la correction de mes manuscrits, la traduction d´un livre, l´adaptation à la ville trépidante de Rio et le quotidien des Cariocas, prendre mon mal en patience pour vivre en communauté... Avoir un coup de folie, me couper les cheveux en quelques coups de ciseaux, courts comme jamais...
Mais je vais bien. Juste un coup de stress. Mars apporte son lot de surprises et de renouveau, j´en suis persuadée...
dimanche 1 mars 2009
Auteur: Khaled HOSSEINI
Titre:
Mille Soleils Splendides (A Thousand
Splendid Suns)
Roman
Présentation de l'éditeur
Après l'immense succès des
Cerfs-volants de Kaboul : le nouveau roman de Khaled Hosseini. Sur fond
de chaos et de violence dans un Afghanistan déchiré par cinquante ans de
conflits, l'histoire bouleversante de deux femmes dont les destins
s'entremêlent, un chant d'amour poignant à une terre sacrifiée et à une
ville : Kaboul. Forcée d'épouser un homme de trente ans son aîné, Mariam
ne parvient pas à lui donner un fils. Après dix-huit années de
soumission à cet homme brutal, elle doit endurer une nouvelle épreuve :
l'arrivée sous son propre toit de Laila, une petite voisine de quatorze
ans. Enceinte, Laila met au monde une fille. D'abord rongée par la
jalousie, Mariam va finir par trouver une alliée en sa rivale. Toutes
deux victimes de la violence et de la misogynie de leur mari, elles vont
unir leur courage pour tenter de fuir l'Afghanistan. Mais
parviendront-elles jamais à s'arracher à cette terre afghane sacrifiée,
et à leur ville, Kaboul, celle qui dissimulait autrefois derrière ses
murs " mille soleils
splendides "?
L´Avis de la Lectrice: Khaled Hosseini livre avec réalisme, âpreté, nostalgie, une histoire qui n´est autre qu´un portrait des coutumes et des mentalités afghanes, pendant plusieurs décennies. Il a réussi, à travers ce roman et ses personnages attachants et caractériels, à donner une voix à l´Afghanistan – la voix de la révolte, de la force des traditions, du patriotisme et de l´espoir. Sans omettre le ton vibrant de nostalgie et d´attachement à la terre d´origine que l´auteur laisse transparaître. Sublime.
samedi 28 février 2009
Elle a été loin du positionnement des meilleures écoles de samba en ce Carnaval de Rio 2009, mais c´est tout de même l´école dont j´ai le plus apprécié le défilé: Imperatriz Leopoldinense.
Il fait une chaleur d´enfer (37°C aujourd´hui!) et, fort heureusement, l´été ici touche à sa fin et nous allons, dès fin mars, vers l´automne, qui promet d´apporter des températures plus raisonnables. Comme l´a si bien écrit Lola Lafon, de ça je me console...
mercredi 25 février 2009
Mon premier carnaval en direct de
Rio de Janeiro...
Des couleurs magiques, une musique et un
rythme magiques, uniques, particuliers.
La ville était en fête
pendant ces trois derniers jours.
De quoi oublier quelques
contrariétés du quotidien!
Lya Luft, écrivain et traductrice
brésilienne, a écrit quelque chose qui ressemble à cela: Nous sommes
nés pour être heureux. Et pourtant... Nous ne sommes pas autant heureux
que nous devrions l´être. Notre culture, notre société, notre famille
ne nous ont pas bien raconté cette partie de l´histoire.
N´est-ce
pas un peu vrai?
mercredi 18 février 2009
Auteur: Anne WIAZEMSKY
Titre:
Une Poignée de Gens
Roman
(Evene)
Une poignée de gens, à l'époque des enfants, sont partis de Russie
sous la bienveillance d'un paysan mort subitement d'une crise cardiaque.
Les enfants grandissent, devenant français, américains ou anglais. Ils
ne reviennent pas sur les traces de leur pays natal, où l'auteur écrit
ce journal pendant la Première Guerre mondiale, aidé de documents
officiels qui en font presque un témoignage.
Moi, Lectrice: Anne Wiazemsky nous fait voyager, nous amenant à découvrir une émouvante histoire de famille, qu´elle conte superbement en traversant les barrières du temps et de l´espace. Elle redonne vie à des personnages dont les voix résonneront probablement longtemps dans nos mémoires...
dimanche 15 février 2009
Je suis vénère, mais ce n´est
qu´un état d´esprit, cela va passer.
Beaucoup de choses sans
importance polluent mon esprit; lorsqu´elles s´estomperont
d´elles-mêmes, je pourrai me consacrer aux choses plus valorisantes à
mes yeux...
Il y a des situations que l´on ne choisit pas; si
l´on pouvait, on les contournerait simplement, sans s´en soucier. Mais
ce qui est temporaire ne dure pas... Alors, en attendant, on va prendre
l´air, pour passer le temps.
Demain, cela ira mieux.
jeudi 12 février 2009
Auteur: Florian
ZELLER
Titre: La Fascination du Pire
(Roman)
(Evene.fr) Un
jeune écrivain français est convié à l´Ambassade de France
pour donner une conférence. Passionné de Flaubert,
il s'imagine découvrir l'Orient tel que celui-ci
l'avait décrit dans sa correspondance en 1847. Le suisse Martin Millet
tente en vain la débauche lors
d'une tournée dans les bars louches du Caire, mais
même les prostituées les plus ignobles ne veulent pas de lui ! Rentré en
France, il publie un livre à
scandale et connaît des démêlés judiciaires qui font de lui un nouveau
Salman Rushdie.
L´Avis de
la Petite Laura: Je n´avais encore jamais lu de Zeller.
J´ai bien aimé celui-ci. Le thème est d´actualité et met en scène des
avis divergents sur la culture de l´Orient. J´ai adoré Martin Millet,
l´écrivain suisse. J´ai rencontré tellement de personnages comme lui,
convaincus d´avoir la science infuse et certains que l´argent achète
tout, même les convictions...
L´auteur laisse planer le suspense sur
la personne ayant réellement publié le livre, dans l´histoire, même si
tout le monde accuse Martin. Et d´ailleurs, qu´est devenue Lamia, dans
tout cela???
Ouf! Pas de style poético-vulgaire, malgré un
roman moderne...
vendredi 6 février 2009
Auteur: Francis PORNON
Titre: Toulouse
Barbare
(Roman Noir)
(Amazon.fr)
Mercader, bourlingueur dit " le Cathare ", revient de loin quand il
arrive à
Toulouse. La disparition de jeunes filles le pousse à descendre dans les
bas
quartiers de la Ville rose. Derrière le décor splendide et les rues bien
propres, on découvre beauté, passion et barbarie. L'exploitation
sexuelle
moderne fait voir rouge à notre héros, sur fond d'histoires sanglantes :
supplices de Galas, de Vanini et ben d'autres encore... Dans son
enquête, une
énigme va le conduire sur les traces d'une Dame, guidé par un troubadour
en
quête d'amour loyal ! Aventure rocambolesque et pleine de vérité, où le
Cathare,
idéaliste battant, est assisté du savoureux titi toulousain Jojo.
Le Point de Vue de Laura: J´ai
découvert cet auteur en surfant par hasard sur le Net. Il semble
beaucoup écrire dans l´univers dans la Ville Rose, alors je n´ai pas
hésité une seconde à commander ce roman, vous pensez bien.
Ce qui m´a
séduite avant tout est cette émotion éprouvée en reconnaissant tous les
coins de Toulouse cités. En effet, les lieux ont une importance
particulière dans ce roman peuplé de détails historiques.
Je ne suis
pas trop branchée roman noir, et pourtant... Je dois reconnaître que
l´auteur crée et fait découvrir, derrière le décor toulousain aux mille
merveilles, une ambiance superbement glauque, désignant les bas-fonds,
le côté obscur et sordide de la ville.
Le personnage de Joseph
Fontbonne, à l´humour décalé, sauve l´histoire d´un ton définitivement
tragique.
Les "moins": Les détails historiques encombrant le roman.
Il faut aimer... Le vocabulaire trop familier, hélas...
Très barbare,
donc. Mais superbement barbare. Toulouse Barbare, quoi!
jeudi 5 février 2009
Quelques news fraîches...
Le
Petit Monstre a réintégré une nouvelle école toute fraîche cette
semaine. Tant mieux pour lui... Et pour nous.
J´ai été nostalgique.
Pourtant, que j´ai prié pour pouvoir quitter l´école au plus vite, à
l´époque! Allez savoir. En tout cas, c´est avec tendresse que je me suis
remémoré certaines rentrées bien excitantes...
Le gribouillage
avance bien, j´ai du temps libre, alors autant en profiter...
Il fait
32°c, aujourd´hui. C´est le cas depuis plusieurs jours. L´été bat son
plein ici.
D´ici deux semaines, c´est le carnaval et, alors que les
Cariocas fuient leur ville comme la peste pendant cette période polluée
de touristes, moi j´ai envie de rester ici pour voir à quoi ressemble le
spectacle!!! Vous parlez d´une blague, fuir pour aller où, dire que
tellement de gens sont prêts à débourser 3000 euros pour le billet
d´avion afin d´assister au Carnaval in Rio en direct...!
Mon roman
sort dans deux mois, j´ai hâte.
amedi 31 janvier 2009
Eh oui. J´ai pris de longues
vacances (forcées) avec ce blog... Je n´ai pas encore de connection chez
moi et c´est un peu compliqué.
Je travaille toujours autant sur mes
manuscrits, qui me prennent du temps et de l´énergie. Je ne sais pas par
qui, mais je sais que les efforts sont récompensés, alors je ne me fais
aucun souci...
Ah, la mer. Quelque chose de magique! Il n´y a pas
que la ville de Rio qui offre de belles vues... Cabo Frio, dans l´Etat
de Rio de Janeiro, n´est pas mal non plus...
Elle est pas belle, la vie, des fois???
samedi 10 janvier 2009
Bonne année à toute la sphère copinautaire...
Je viens tout juste de me sortir de mon cocon et me rends compte que nous voilà déjà en 2009! Ben ça alors.
Les bonnes résolutions? Heu... Eh bien, j´ai tout recommencé à zéro. Nouveau pays, nouvelle vie, nouveau Gagne-Pain. J´ai tout rasé pour tout reconstruire. Alors, je pense que le meilleur reste à venir...
Je maintiens mon énergie, grâce à mon gribouillage. C´est lui qui m´aide à conserver une certaine patience et une quelconque sérénité face aux évènements pas toujours prévisibles... Ouf.
Il fait chaud à Rio, mais c´est une chaleur supportable, car la mer est à côté. Les cariocas semblent gais et paisibles, quoiqu´il advienne. Quelle sage philosophie... Il faut le vivre!
lundi 5 janvier 2009
Quelques avis ça et là sur mon premier roman Choc Temporel... Internautes et autres lecteurs...
"Ça accroche..."
"J´admire la sincérité et l'humilité avec laquelle le
personnage avoue, se confie et met des mots sur ce qu'il ressent"
"Détrompez-vous...
Choc Temporel est loin d´être uniquement un roman basé sur une histoire
d´amour. Il relève des questions telles que la confiance en soi et en
l´autre, les carrefours de la vie estudiantine, les non-dits, les
apparences trompeuses, mais avant tout: les barrières que nous nous
imposons, nous compliquant une vie à la base si simple, barrières qui
nous empêchent de saisir le bonheur étant souvent à portée de main"
"Pas de cliché ! Pas d’histoire sentimentale lue et
relue ! Plutôt
un zoom sur les quelques mois qui marquent un tournant dans la vie de
deux personnes. Les sentiments sont justes. L’histoire est bien menée.
Il y a une alternance intéressante entre le récit de la narratrice et
les notes éparses de l’autre personnage, qui permet de comprendre les
ressentis des deux protagonistes à chaque rebondissement."
"Ce
n´est pas un Mary Higgins Clark, et pourtant, on le lit d´une traite,
en se reconnaissant plus ou moins en ces personnes ayant peur d´être
heureuses"
Plus d'infos ICI, et pour commander c'est LÀ...