Déménagement et Nouveau Quartier (Dernière Partie)
Bon, il m'a bien fallu deux semaines pour me faire à tous les changements liés à ce déménagement (sortir plus tôt pour arriver à l'heure, par exemple; le métro est certes ultra rapide, mais il n'accomplit pas encore de miracles).
Mais maintenant, je peux l'affirmer. Je suis très bien dans ce nouvel appartement. Il est empli d'énergie positive et avec ce monde d efolie dans lequel nous vivons, il nous en faut.
Les voisins sont discrets.
Tout y est moins cher. Rien à voir avec les commerces-musées de la Zone Sud. Je mange davantage de fruits et de légumes frais. L'épicerie est juste en face.
Mon coin bureau est clair. C'est un bonheur de pouvoir y travailler.
Il n'y a pas d'ascenseur. Trois étages à pied, c'est bien pour la forme. Il faut bien s'y remettre un jour ou l'autre.
Bon, il faut faire plus attention en traversant les rues. Ici, tous les habitants sont des chauffards...
Je suis à cinq minutes, la montre faisant foi, de la station de métro. Quand je le prends, en principe, je suis sûr de ne prendre aucun embouteillage (sauf panne, ce qui arrive, euh, plutôt rarement, quoique...?!). Croyez-moi, je ne prends plus de bus du tout. Le métro, malgré ses travers et la foule, est bien trop pratique.
Je me suis habituée aux boîte de sardines. Et avec un peu d'expérience, on apprend vite quelques astuces pour bien s'en sortir, où se placer pour prendre le wagon le moins bondé, selon les heures. Quelles stations éviter aux heures de pointe pour ne point se faire ensevelir, etc.
Je dois dire: c'était juste une question d'adaptation.
La fenêtre de ma chambre, avant l'emménagement.
Avenida Monsenhor Félix, novembre 2011.